Sous l'oeil de Thomas Pesquet, la Terre n'était plus seulement une oeuvre d'art, elle était le chef-d'oeuvre absolu. TERRE(S), donc, tant elle apparaît plurielle, tour à tour minérale et végétale, aride et aquatique, sauvage et domestiquée, déserte et surpeuplée. Inclassables paysages surgis au fil de la mission Proxima et desquels l'ouvrage conserve l'ordre chronologique, plus propice que tout vain classement thématique à la restitution de cette impression de variété